American Nightmare et The Conjuring {Ciné}

Alors, bon, voilà, je suis confrontée à un dilemme. Sur le papier, « American Nightmare » et « The conjuring » sont deux films classés dans la catégorie « horreur – épouvante ». Mais, c’est pas vrai du TOUT pour le premier, je vous le dis, on nous a pris pour des jambons ! ^^. Le premier est un comédie avec tout petit peu de sang et beaucoup de rigolitude et le second, en revanche, fait peur, nous tient en haleine pendant 1h50, bon pas autant que « Sinister » par exemple, parce qu’autant vous dire qu’en visionnant « Sinister », j’ai bien flippé ma race, mais quand même il se défend super bien et ça fait du bien !

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Donc, « American Nightmare« , de James DeMonaco (The Purge, en VO) est une bonne farce. En fait, pendant le film, j’ai été soit navrée par un scénario aussi débile que ahurissant, ou bien, je me suis marrée devant les pseudos moments gores. J’adore Ethan Hawke, je trouve que c’est un acteur sublime, je l’ai adoré dans « Sinister », mais pourquoi avoir accepté de faire cette daube ? L’idée de base était, certes, très bonne : un nuit par an, les américains ont le droit de tuer (dans la vraie vie, c’est tous les jours et partout dans le monde), c’est le jour de purge.

« Dans une Amérique rongée par une criminalité débridée et des prisons surpeuplées, le gouvernement a donné son accord pour qu’une fois par an, pendant 12 heures, toutes activités criminelles, meurtres inclus, soient légalisées. La police ne peut intervenir. Les hôpitaux suspendent leurs services. Une nuit durant, les citoyens sont à même de définir leurs propres règles et de faire leur propre loi, sans avoir à craindre de sanctions. Au cours d’une telle nuit hantée par la violence et le crime, une famille va devoir faire un choix – bourreau ou victime ? – face à un inconnu venu frapper à sa porte.« 

Le film est mal classé, c’est un petit huis-clos rigolo. Sans plus.

 

« The Conjuring« , de James Wan

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« Avant Amityville, il y avait Harrisville… Conjuring : Les dossiers Warren, raconte l’histoire horrible, mais vraie, d’Ed et Lorraine Warren, enquêteurs paranormaux réputés dans le monde entier, venus en aide à une famille terrorisée par une présence inquiétante dans leur ferme isolée… Contraints d’affronter une créature démoniaque d’une force redoutable, les Warren se retrouvent face à l’affaire la plus terrifiante de leur carrière… » (Source : Allociné)

La première image est terrrifiante (je ne vous en dis pas plus).

Alors là, nous voilà dans un autre registre, celui du bon vieux film d’horreur oppressant. Les démons, les médium, l’atmosphère si particulière, l’apparition quasi subliminale, la boite à musique, tout y est… bref… je suis sortie very happy de cette séance. J’ai beaucoup aimé, je n’ai pas eu trop les chocottes, un peu sursautée quand même (je dois restée digne),  mais, enfin, un film d’horreur  YEAH !! Et le tout tiré d’une histoire vraie !!

J’ai pas mal hésité avant d’aller le voir toute seule au cinéma, vraiment beaucoup hésité et puis comme je voulais le voir et que franchement, dans mon entourage, y a pas beaucoup d’adeptes au genre, il a bien fallu que j’y aille seule… bon, à la séance de fin d’aprèm tout de même, ne poussons pas le bouchon un peu trop loin.

Parlons des acteurs et des actrices,  Patrick Wilson que l’on avait déjà vu dans Insidious (et que l’on reverra dans Insidious 2, sortie prévue cet automne) et Vera Farmiga, vêtus de leur plus beaux habits 70’s, ils forment le couple de « démonologues » Ed et Lorraine Warren, Lily Taylor (vue dans Six Feet Under, la femme de Nate) est très juste, en fait, tous les acteurs sont bons, et Patrick Wilson est super beau ! (<3)

Le réalisateur, James Wan, avait réalisé le SAW et Insidious, j’avais adoré SAW (le 1er opus, parce que les autres, aucun intéret) et moi Insidious, j’avais donc quelques doutes sur The Conjuring, plus maintenant. Et je pense revoir Insidious pour me refaire une idée.

Une Place sur la Terre (F. Godet)

Je pense que nous sommes nombreux à nous demander si nous avons réellement une place ici, si ce qu’on y fait sert à quelque chose…

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« Antoine, photographe joyeusement désabusé, a pour seul ami Matéo, le jeune fils de sa voisine souvent absente, auquel il donne une éducation fantaisiste. Un matin, des notes de piano venues de l’immeuble d’en face captent son attention. » (Source : Allociné)

Ce film est pour moi une ode à l’optimisme, au tout est possible, même au fond du trou, on peut remonter à la surface, trouver ce petit quelque chose qui nous fera émerger. Malheureusement, la vie est une chienne, et ça aussi, il faut le savoir.

Joli film plein de poésie et d’humour, les acteurs sont bons, bref, j’ai aimé même si je trouve que la fin est un peu ratée, était-elle vraiment nécessaire ? Une fin, oui, mais de cette façon ? En tout cas, ce film est poignant et vous passerez un joli moment devant.

Qu’est-ce que j’aime Benoit Poelvoorde dans ce genre de rôle, sa mélancolie naturelle sublime le personnage.

 

 

PS : le cliché du break Volvo des années 80/90, est-il lui aussi nécessaire, on est en 2013, quand même !

Mes lectures de l’été (un poil en retard) !

Cet été, j’ai un peu lu, pas assez à mon goût, prise par d’autres choses, mais j’ai au moins 2 livres à vous conseiller, si vous ne les avez pas encore dévoré :

« Demain, j’arrête !« , Gilles Legardinier

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« Comme tout le monde, Julie a fait beaucoup de trucs stupides. Elle pourrait raconter la fois où elle a enfilé un pull en dévalant des escaliers, celle où elle a tenté de réparer une prise électrique en tenant les fils entre ses dents, ou encore son obsession pour le nouveau voisin qu’elle n’a pourtant jamais vu, obsession qui lui a valu de se coincer la main dans sa boîte aux lettres en espionnant un mystérieux courrier… « 

J’ai adoré ce bouquin. Je l’ai englouti en 2 jours, particulièrement bien écrit et très frais, parfait pour une lecture sans prise de tête et légère.  Mais punaise, qu’est-ce que j’ai ri ! Julie est formidable !

Jusqu’où peut-on aller en amour ou autre ?

 

A lire, si vous ne l’avez pas déjà fait, pour une rentrée détendue !

 

« La Sirène« , Camilla Lackberg

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« Dans ce sixième volet de ses aventures, l’irrésistible enquêtrice au foyer Erica Falck, enceinte de jumeaux, ne peut s’empêcher d’aller fouiner dans le passé d’un écrivain à succès lorsque celui-ci commence à recevoir des lettres de menace anonymes qui semblent liées à la mystérieuse disparition d’un de ses amis… »

Forcément, forcément, je n’ai pas commencé par le début, et je ne le savais pas ! Diantre !  Erika Falck et ses enquêtes existent depuis 7 tomes déja  et j’ai commencé au 6ème… bien joué, hein ! D’autant plus que les personnages sont développés au fur et à mesure de ses romans. Bref, j’ai lu la Sirène, commencé le Gardien du Phare (et reprendrai dès le début avec « La Princesse des Glaces » ensuite, vive la cohérence !).

Si vous aimez les atmosphères un peu sombre, froide et beaucoup de suspens, je vous le conseille chaudement !  Les personnages sont très attachants, et l’auteure met un point d’honneur à tous les faire vivre, ils ont tous une histoire.

PS : Depuis, la trilogie Millenium, je suis devenue très fan des polars suédois, ils savent y faire les coquins !

Alabama Monroe (F. Van Groeningen) {Ciné}

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« Didier et Élise vivent une histoire d’amour passionnée et rythmée par la musique. Lui, joue du banjo dans un groupe de Bluegrass Country et vénère l’Amérique. Elle, tient un salon de tatouage et chante dans le groupe de Didier. De leur union fusionnelle naît une fille, Maybelle… » (Source : Allociné)

Que dire sur ce film sans trop vous en révéler, à part vous dire qu’il est magique, qu’il est servi par des acteurs-chanteurs incroyables et qu’il transpire l’amour. Et qu’il est bouleversant, qu’il remue, qu’il nous retourne comme une crêpe.

Evidemment, le sujet peut faire penser à « La Guerre est déclarée », là, où ce film ne m’avait pas touché, je l’avais même trouvé super gnangnan, « Alabama Monroe » est poignant, les acteurs sont fabuleux et la musique berce le film avec perfection.

S’il suffisait que les choses soient recouvertes pour qu’elles disparaissent… (vous comprendrez en voyant le film…)

Je crois que je vais me mettre à écouter de la Bluegrass, moi…

Vraiment courrez-y…

Jeune et Jolie (F. Ozon) {Ciné}

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« Le portrait d’une jeune fille de 17 ans en 4 saisons et 4 chansons. » (Source : Allociné)

Après la sortie, un poil gerbante, du réalisateur durant le Festival de Cannes (souvenez-vous, il avait déclaré : «Les femmes peuvent se sentir proches (NDLR : de l’adolescente du film), car la prostitution est un fantasme commun à de nombreuses femmes (…) Cela ne veut pas dire qu’elles le font, mais le fait d’être payée pour coucher est quelque chose qui est assez évident dans la sexualité féminine») et s’être ravisé ensuite (y a des pépettes en jeu, alors tu te tais, ok !), je me suis demandée comment François Ozon avait-il pu traiter la prostitution dans son film. S’il en traite….

Oui, il en traite, comme d’un passe-temps pour jeune fille, déja bien lotie dans la vie, un 5 à 7. C’est de cette façon que j’ai perçue ce film. On ne connait rien de la vie de Isabelle-Lola, on sait juste que son père lui envoie un chèque de 500 euros pour Noël et un autre de la même somme pour son anniversaire, que la séparation de ses parents s’est bien passée et que son petit frère est un poil pervers. Voilà, en gros, ce que je retiens de ce film. On ne sais absolument pas pourquoi cette jeune fille de 17 ans va se mettre à louer son corps.

Je ne sais pas du tout, ce qu’a voulu nous raconter François Ozon… que l’adolescence est une période difficile, oui, c’est certainement vrai, que le monde des adultes est moche (la pseudo infidélité de la mère), c’est également vrai, bref, c’est pas fastoche tous les jours. Mais, on peut tout de même lui reconnaitre qu’il l’a fait avec beauté, ce film est beau. L’actrice est belle.

Mr Ozon a du avoir envie de se faire plaisir, filmer une très belle jeune fille, Marina Vacth, je ne vois que ça… mais vraiment que ça. Ou alors nous mettre vers le chemin d’une nouvelle éducation sexuelle ?  (là, je me marre).

Sinon, big-up à Serge Héfez (le couteau-suisse de la psy en France) qui y joue le rôle du psychiatre (il l’est dans la vraie vie) qu’Isabelle va rencontrer.

Carnet de voyage : Istanbul (Part. 1)

Il y a quelques mois, je suis rentrée d’Istanbul des étoiles plein les yeux parce que c’est une ville unique : entre Orient et Occident, entre modernité et conservatisme, c’est une ville qui ne laisse pas indifférent. Et je dois dire qu’en effet, elle ne m’a pas laissée indifférente : il règne, à Istanbul, une sorte de sérénité, due probablement à tous ces – magnifiques – édifices, religieux et/ou remplis d’histoire qui font de cette ville un vrai bijou, malgré le bruit intempestif des klaxons, des vendeurs à la sauvette ou des sollicitations (un peu pénible, je dois bien l’avouer) des restaurateurs.

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IMG_6934Devant la « Mosquée Neuve », il est possible d’acheter une petite coupelle de grains de maïs pour nourrir les pigeons – nombreux – de la place !

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Sainte-Sophie (Aya Sofia) qui n’a rien d’une Sainte mais qui avec le temps l’est devenue ! Basilique, puis Mosquée, elle a été transformée en Musée par Atatürk !

IMG_7409La Basilique Citerne, autrefois, réserve en eau du Palais du Sultan

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La Magnifique Mosquée Bleue, il règne aux alentours de cet édifice religieux une atmosphère de paix. Dès que l’on franchit l’enceinte de la Mosquée, on est envahi par la beauté des lieux. 

IMG_6966Sainte-Sophie qui fait face à la Mosquée Bleue

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IMG_7063 La Mosquée de Soliman le Magnifique

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A suivre…

EDIT du 29 Août : J’ai fait ce voyage en Mars 2013  

Bienvenue !

Bonjour !

Pourquoi ce blog ? J’ai décidé d’ouvrir un nouveau blog (j’en possède déja un consacré à la cuisine : www.liliskook.fr), pour pouvoir venir discuter avec vous de mes coups de coeur qu’ils soient cinématographiques, musicaux, expo, mes cartes postales de voyages et même mes trouvailles de chine !  Bref, un joyeux bric à brac…

Je vous souhaite la bienvenue !

A très vite,

Lili !