Ma Vie avec Liberace {Ciné}

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« Avant Elvis, Elton John et Madonna, il y a eu Liberace : pianiste virtuose, artiste exubérant, bête de scène et des plateaux télévisés. Liberace affectionnait la démesure et cultivait l’excès, sur scène et hors scène. Un jour de l’été 1977, le bel et jeune Scott Thorson pénétra dans sa loge et, malgré la différence d’âge et de milieu social, les deux hommes entamèrent une liaison secrète qui allait durer cinq ans. « Ma Vie avec Liberace » narre les coulisses de cette relation orageuse, de leur rencontre au Las Vegas Hilton à leur douloureuse rupture publique. » (Source : Allociné)

Hier, je suis allée voir Ma Vie avec Liberace, je l’attendais depuis un petit moment, surtout qu’on en disait que du bien.

Michael Douglas et Matt Damon y sont formidables (Rob Lowe est à mourir de rire). Les décors et les costumes aussi. Le Sida est présent. Bref, tout y est.

Sauf que je me suis ennuyée. J’ai trouvé le film trop long.

Voilà, tout ce que j’ai à dire sur ce film. Je pense qu’il faut aller le voir pour les performances des acteurs, pour le travail titanesque du chef décorateur et du costumier.

 

{JEP 2013} La Sorbonne, sublime

Depuis 5 ans que je vis à Paris, je n’avais jamais rien visité pendant les Journées Européennes du Patrimoine par peur du monde, des touristes. Mais cette année, c’est un peu différent, je recevais ma soeur qui elle était bien motivée à braver ce temps de cochon pour aller visiter les splendeurs de Paris.

Nous sommes allées visiter la Sorbonne. Véritable coup de foudre, c’est un lieu absolument magnifique, serein, de savoirs et d’Histoire. Avoir l’impression de rencontrer Richelieu dans chaque pièce, cela n’a pas vraiment de prix.

Je vous confie quelques photos prises avec mon Iphone (à cause du sale temps, j’ai pas eu le coeur de sortir mon reflex, avec regret !!!)

Pour tout savoir sur La Sorbonne et son histoire : ICI

La Chapelle de la Sorbonne où se tient le tombeau – pas anodin – de Richelieu : 

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Amphithéâtre Liard : 

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Bibliothèque intra-universitaire : 

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A chaque spécialité, sa Robe : 

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Grand Amphithéâtre : 

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Escalier d’Honneur de la Bibliothèque (on peut remarquer que les armoiries des grandes villes françaises y sont représentées) : 

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La Salle des commissions : 

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La Salle des Actes : 

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Le Grand Salon :

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La première imprimerie française : 

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Hello Victor ! 

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La Cour d’Honneur :   

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Demain, on file au Sénat !

Rock The Casbah, L. Marrakchi

« C’est l’été à Tanger. Une famille se réunit sur 3 jours dans la maison familiale suite au décès du père, pour se remémorer les souvenirs et partager sa perte, comme le veut la tradition musulmane. Il faut quitter les plages, les maillots de bain pour se vêtir de djellabas, réunir tout le monde et donner à la maison des allures d’enterrement. L’agitation est à son comble d’autant plus que cet homme n’a laissé derrière lui que des femmes. Tout va basculer avec l’arrivée de Sofia, la dernière des filles, celle qui a fait sa vie ailleurs. Actrice n’interprétant que des rôles de terroristes dans des séries américaines, elle arrive de New York après plusieurs années d’absence. Son retour va être le moyen de régler ses comptes avec ses sœurs et bouleverser l’ordre établi depuis toujours par ce patriarche. Entre rire et larmes, une hystérie collective va mener chacune de ces femmes à se révéler à elle-même… »

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Autant vous dire que la bande annonce ne m’avait pas vraiment convaincue, persuadée de tout y voir er de n’avoir aucune surprise pendant le film sauf que… en effet, on en voit un peu mais si peu…

Ce film de femme, Laïla Marrakchi déja réalisatrice de « Marock », avec des femmes, les actrices sont toutes formidables, un gros big up à Nana Zaza (et à sa réplique sur le Corte Inglès) aborde le sujet du deuil du patriarche (je dois dire que, moi-même ayant vécu ça, j’ai eu un peu les boules, mais ici, le deuil est filmé de tel sorte qu’il en devient presque beau) mais, il se dégage un enthousiasme de ce film, une ode à l’amour familial qu’il en devient bouleversant.

Il est également intéressant car on y voit les femmes tiraillées entre les us et coutumes ancestrales et religieuses et l’envie de modernité, chaque femme y est représentée, même si on peut penser que ça fait un poil cliché, j’ai adoré la confrontation.

J’ai adoré toutes ces femmes au destin différent mais tellement attachées l’une à l’autre, j’ai aimé le scénario très bien écrit et la photo, la ville est superbe… j’ai juste envie de prendre un avion pour Tanger et déguster des figues !

{Mon avis} You’re next, A. Wingard –> GIRL POWER !

Enfin, un slasher ! Un vrai ! Et ça fait du bien !

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Du sang, du gore, de l’humour et de l’inventivité ! On peut, peut-être, lui reprocher de respecter -trop- les codes du genre mais, en tant que fan de slasher et de film où on voit du sang, j’ai adoré, j’ai passé un excellent moment : mélange d’humour et de machette ! Qui dit mieux ?

Un huis-clos, une réunion de famille pour fêter les 35 ans de mariage des parents, les enfants qui s’engueulent comme des chiffonniers et la première flêche d’arbalette… le film commence… YEAH !!! Jouissif !

Et cette chanson, une seule, qui forme la BO vous laissera un souvenir impérissable… « Looking for the Magic », de Mind The Gap

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{Mon avis} The Newsroom, je kiffe !

Un post, un peu rapide pour vous dire que je viens de me nourrir d’une nouvelle série : The Newsroom.


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Entrez dans les coulisses d’une rédaction d’un journal télé américain. Voilà, c’est ce que nous propose cette série TV.

Cette série, vieille de 2 saisons, est absolument  géniale : hyper réaliste, drôle, et piquante à la fois !

Une première saison qui nous permet de découvrir des personnages très bien façonnés, plein de caractères et un formidable Jeff Daniels et une excellente Emily Mortimer !

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La seconde saison, assez différente de la première, laisse plus de place aux personnages féminins, parce que bon, le reproche que je peux faire à la saison 1, c’est bien l’utilisation mineure et un poil sexiste des femmes !  Revenons à nos moutons, donc, en plus de s’intéresser à l’actu (DSK dans le 1er épisode par exemple), cette saison va être traversée par un fil conducteur, un poil stressant, mais je ne vous en dis pas plus…

Bref, un huis-clos qui nous fait découvrir les coulisses d’une chaine d’infos US avec des acteurs TOP, des dialogues au TOP et du suspens…  J’ai lu que le créateur s’était attiré les foudres des Républicains (les vrais, dans la vraie vie politique US), car Will McAvoy (Jeff Daniels) n’est pas tendre avec eux, et c’est ça qui est bon ! Il n’est pas très charitable avec les Démocrates, non plus , hein !

En revanche, la saison 2 ne comportera que 9 épisodes, mais POURQUOI  ?

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{Mon avis} Grand Central, R. Zlotowski

Je sors du ciné et la première chose qui me vient, c’est  » il va falloir, qu’un jour, le cinéma français arrête de se masturber » mais j’ai pas le droit de le dire, hein, si ? Ah bah, oui, c’est mon blog. Je dis ce que je veux, na !

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« De petits boulots en petits boulots, Gary est embauché dans une centrale nucléaire. Là, au plus près des réacteurs, où les doses radioactives sont les plus fortes, il tombe amoureux de Karole, la femme de Toni. L’amour interdit et les radiations contaminent lentement Gary. Chaque jour devient une menace. »

Donc, Grand Central, une perte de temps, un moment de total ennui. Un film chiant comme la mort.

C’est d’un cliché, tellement gros, que tu te dis, non, ça va pas se passer comme ça… hein si.

Un mec, jeune et mignon, se pointe. La nana d’un de ses collègues lui roule une pelle pour lui faire comprendre ce qu’est « la dose » (tous travaillent dans une centrale nucléaire), ils couchent ensemble, elle tombe enceinte, son mec officiel accepte et ils se marient, il acceptera cet enfant. Tu as vu un épisode « Des Feux de l’Amour », ne va pas au ciné voir ce film, c’est kif-kif bourricot.

En plus de caricaturer la relation amoureuse, ce film caricature le monde ouvrier, et ça j’ai encore moins aimé. L’ouvrier qui s’éclate à faire du rodéo et boire de la bière pour décompresser.

Bref, du cliché, du cliché et toujours du cliché.

A aucun moment, je n’ai trouvé la sensualité dont on nous rabattait les oreilles avec ce film, que Léa Seydoux était fabuleuse, mouais,… encore une fois, je ne suis pas d’accord avec ça. Heureusement, que le regard de Tahar Rahim est là pour sauver un peu ce film de la surdose mortelle !

J’crois que j’ai pas trop aimé, hein.

Mon avis sur « House of cards » {Série TV}

Je dois vous faire une confidence, quand j’accroche à une série, je dois voir toute la saison en une fois, quitte à voir 5 épisodes par jour. Je suis totalement incapable d’attendre d’une semaine sur l’autre l’épisode suivant. Pour Dexter, par exemple, c’est une vraie torture en ce moment surtout qu’on arrive au dénouement de la série !

House of Cards

Alors quand j’ai vu, début 2013, que les internets s’agitaient pour « House of Cards », j’ai préféré attendre que la saison soit totalement finie au cas où… et j’ai bien fait. Je viens de regarder les 13 épisodes ce weekend. Je suis accro, voilà, c’est malin, je suis frustrée… j’attends la saison 2 avec impatience. Cette série est génialissime, elle te tient en haleine du début (la musique du générique est hypnotisante) jusqu’à la fin de l’épisode où tu te dis, putain, vivement le prochain. JE VEUX SAVOIR.

Je ne te parle pas du pitch, puisque tout le monde en a parlé la semaine dernière puisque la série commence à être diffusée sur la chaine cryptée. Bon aller, quand même… cette série, je la résumerai à : plus les coups sont bas, plus vous avez des chances de monter très haut. Bref, les sous-terrains qui animent la Maison Blanche sont bouffés de rats et c’est jouissif.

Evidemment, c’est une fiction et je pense, j’espère plutôt, que les grands de ce monde (je me marre en écrivant ça) sont tout de même un peu moins naïfs que ne le sont les personnages bien que… !

« Frank Underwood, homme politique rusé et vieux briscard de Washington, est prêt à tout pour conquérir le poste « suprême…« 

J’ai pu lire que les scénaristes avaient fait un vrai boulot journalistique et que cette série était très réaliste, encore plus jouissif donc !

A voir pour l’intrigue mais aussi pour le casting en or de cette série : Kevin Spacey et Robin Wright en tête !

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